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Quand mon regard se perd tout au bout de la merA l'endroit où le ciel s'allonge sur les vaguesDans le creux d'un rocher, assise sur des alguesPeu à peu je me fonds avec tout l'univers.
Monte avec moi dans mon canot
Et permets-moi de t'emmener
Avec douceur au fil de l'eau
Sur la rivière de l'amitié
Chassons d'un souffle les nuages
Qui moutonnaient sous le soleil,
Vois défiler le paysage
Et parcours 1001 merveilles
Imprègne-toi de la nature,
De la vie, du vent... tu entends?
Le clapotis de l'eau murmure
Quelques mots tendres et apaisants.
Ecoute les oiseaux rieurs
Laisse leur musique t'envoûter:
Savoure ces moments enchanteurs
Sur la rivière de l'amitié
Installe-toi confortablement
Découvre la sérénité
D'un monde fertile et verdoyant
Dont les richesses te sont données
Ferme les yeux, sens la fraîcheur
De l'eau qui coule entre tes doigts
Regarde, sur la rive, les pêcheurs
Assis avec leur canne en bois
Comme eux, laissons couler le temps
Et cessons même de pagayer
Suivons les caprices du courant
Sur la rivière de l'amitié.
Oublie tout, laisse-toi dériver
Chasse un à un tous tes soucis
Ne pense plus aux mauvais côtés
Qui assombrissent parfois la vie
Ne pense à rien, laisse-toi griser
Par les éclaboussures d'écume
Dont la blancheur va effacer
Chagrin, rancœur et amertume
Je t'offre un moment de douceur,
Une trêve dans ce monde insensé
Viens, laisse un peu voguer ton cœur
Sur la rivière de l'amitié
L'amitié sur internet ...
Bien sur il y a des exceptions
" heureusement "
Mais en principe ça n'est jamais qu'un échange
de bons procédés ,
qui en fait sont éphémères .
Je trouve cela bien triste mais bon
l'étre humain est ainssi fait .
Mais j'avoue que des amis
j'en ai et de très bons,
la qualité est quand même préférable
à la quantité.
Ceci dit j'embrasse très fort
mes fidéles amies et amis .
Yvye
Comme une flamme,
au moindre souffle
elle s'éteint.
6 commentaires -
Le tendre et dangereux visage de l'amour
m'est apparu un soir après un trop long jour
C'était peut-être un archer
avec son arc
ou bien un musicien
avec sa harpe
Je ne sais plus
Je ne sais rien
Tout ce que je sais
c'est qu'il m'a blessée
peut-être avec une flèche
peut-être avec une chanson
Tout ce que je sais
c'est qu'il m'a blessée
blessée au coeur et pour toujours
Brûlante trop brûlante blessure de l'amour.Jacques Prévert
piensa en mi
si tienes un hondo penar piensa en mi si tienes ganas de llorar piensa en mi ya ves que venero tu imagen divina , tu parbula boca que siendo tan niña me enseño a pecar. piensa en mi cuando beses cuando llores tanbien piensa en mi. cuando quieras quitarme la vida,no la quiero para nada,para nada me sirve sin ti.AUJOURD'HUI EST À TOI
La chose la plus précieuse
Que tu possèdes au monde est "aujourd'hui".
Aujourd'hui, tu peux être heureux.La plupart de nos misères sont des restes d'hier
Ou des soupçons empruntés à demain.
Tous tes hiers, Il les a repris,
Tous tes demains sont entre ses mains.Aujourd'hui est à toi:
Prends-en les joies et sois heureux,
Prends-en les peines et sois toi.
Décide aujourd'hui même
De jouir de ton travail comme de tes loisirs.Aujourd'hui est à toi:
Vis-le,
Emplie-le,
Chante-le,
De sorte que, toujours, tu puisses dire:
J'AI AIMÉ AUJOURD'HUI.
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Prend le temps de ...
Vivre
!!!Tournez les aiguilles patiemment
Egrenez les minutes et les heures
Tressez lentement mes cheveux d’argent
Mais ne m’emportez pas mon bonheur.
Valsez au rythme des années
Tourbillonnez au son affolant
Et dans ce refrain endiablé
Faites-moi oublier l’air du temps.
Tramez duveteuse araignée
Doucement l’arentelle de soie
Ne finissez jamais votre métier
Tant que je ne croiserais pas les doigts.
Oh temps ! Toi qui est si pressé
Pour une fois j’aimerais tant
Que dans ta course effrénée
Pour moi tu t’arrêtes un instant.
« Il meurt lentementcelui qui ne voyage pas,celui qui ne lit pas,celui qui n’écoute pas de musique,celui qui ne sait trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentementcelui qui détruit son amour-propre,celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentementcelui qui devient esclave de l’habitude,refaisant tous les jours les mêmes chemins,celui qui ne change jamais de repère,ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtementsou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentementcelui qui évite la passionet son tourbillon d’émotions,celles qui redonnent la lumière dans les yeuxet réparent les cœurs blessés.
Il meurt lentementcelui qui ne change pas de caplorsqu’il est malheureux au travail ou en amour,celui qui ne prend pas de risque pour réaliser ses rêves,celui qui, pas une seule fois dans sa vien’a fuit les conseils sensés.
Vis maintenant !Risque-toi aujourd’hui !Agis tout de suite !Ne te laisse pas mourir lentement !Ne te prive pas d’être heureux ! »
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Ecoutez la musique ...
Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes,
Le cygne chasse l'onde avec ses larges palmes,
Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil
A des neiges d'avril qui croulent au soleil ;
Mais, ferme et d'un blanc mat, vibrant sous le zéphire,
Sa grande aile l'entraîne ainsi qu'un blanc navire.
Il dresse son beau col au-dessus des roseaux,
Le plonge, le promène allongé sur les eaux,
Le courbe gracieux comme un profil d'acanthe,
Et cache son bec noir dans sa gorge éclatante.
Tantôt le long des pins, séjour d'ombre et de paix,
Il serpente, et, laissant les herbages épais
Traîner derrière lui comme une chevelure,
Il va d'une tardive et languissante allure.
La grotte où le poète écoute ce qu'il sent,
Et la source qui pleure un éternel absent,
Lui plaisent ; il y rôde ; une feuille de saule
En silence tombée effleure son épaule.
Tantôt il pousse au large, et, loin du bois obscur,
Superbe, gouvernant du côté de l'azur,
Il choisit, pour fêter sa blancheur qu'il admire,
La place éblouissante où le soleil se mire.
Puis, quand les bords de l'eau ne se distinguent plus,
A l'heure où toute forme est un spectre confus,
Où l'horizon brunit rayé d'un long trait rouge,
Alors que pas un jonc, pas un glaïeul ne bouge,
Que les rainettes font dans l'air serein leur bruit,
Et que la luciole au clair de lune luit,
L'oiseau, dans le lac sombre où sous lui se reflète
La splendeur d'une nuit lactée et violette,
Comme un vase d'argent parmi des diamants,
Dort, la tête sous l'aile, entre deux firmaments.
Sully Prudhomme
2 commentaires -
Et voila c'est ici que je m'installe!!!
affaire à suivre..
2 commentaires
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